Une éphémère éternité, Michel Kelemenis sous-titre ainsi Magnifiques. Le Magnificat de Jean-Sébastien Bach constitue la pierre angulaire de cette pièce pour neuf danseurs, de générations et d’un imaginaire corporel très différent.
L’œuvre arrive après un confinement, précédé par Coup de grâce, un ballet lui même inspiré par La Barbe Bleue qui, comme Michel Kelemenis le souligne au début de l’entretien, fut créée un soir de novembre 2015.
Magnifiques, mercredi 15 février, 10H, Autre Scène Vedène.
Réservations :https://www.hivernales-avignon.com/spectacle/magnifiques-une-ephemere-eternite