Artiste associé au Festival d’Avignon 2011, Boris Charmatz est l’artiste complice de l’édition 2024.
Le danseur-chorégraphe revient avec trois propositions. A cette occasion il retrouve le stade de Bagatelle, qui fut, il y 13 ans, le théâtre d’une intense Levée des conflits.
L’espace entre deux Rhônes accueille jusqu’au 1er juillet, des centaines de danseurs plus ou moins aguerris, pour Cercles, trois rendus d’atelier autour de la pratique de la ronde.
Dans la foulée, Liberté Cathédrale (photo), pièce créée dans une église, sera transposée en plein air, toujours au pied du Pont Daladier.
Désormais à la tête du Tanztheater Wuppertal, fief de la légendaire Pina Bausch (1940-2009), Boris Charmatz salue son aînée à travers Forever (photo), installation chorégraphique au cours de laquelle, sept heures durant, vingt-cinq interprètes performent, commentent, revisitent Café Müller, pièce emblématique de la danse-théâtre.
Rencontre avec Boris Charmatz, démiurge infatigable attentif au présent mais à l’écoute du passé, pour mieux cerner les transitions et les espoirs à venir.
Liberté Cathédrale : 21H30, du 5 au 9 juillet, Stade de Bagatelle. Relâche le 7.
Forever : de 13H à 20H, du 14 au 21 juillet, FabricA. Relâche le 19.
Réservations : https://festival-avignon.com/fr/edition-2024/programmation/par-date?cat=1001
Photographies : Christophe Raynaud de Lage, Uwe Stratman, César Vayssié.
