L’amour par delà les apparences

Après Eurydice et Hedda Gabler cet automne, place à Esméralda, Bérénice et La Belle; l’affiche du Théâtre du Chêne Noir poursuit sa célébration des héroïnes connues ou oubliées

Depuis la Grèce antique, La Belle et la Bête traverse siècles et continents.  Julien Gélas affectionne le potentiel imaginaire du merveilleux, en rupture avec les carcans du réel. Sa Belle et la Bête  traite d’interdit, de transgression. La trame du récit suit une dramaturgie centrée sur une jeune femme qui se transforme, évolue vers l’âge adulte à travers les sens et le désir. Il y est question d’évolution, d’émancipation. Mais il s’agit avant tout d’une histoire d’amour.

Très influencé par la culture asiatique, en particulier l’Opéra de Pékin qui combine de multiples arts de la scène, Julien Gélas mobilise sept interprètes au sein d'une production au croisement du théâtre, la musique, la danse et les arts numériques.

Plus de détails avec l’adaptateur-metteur en scène.

La Belle et la Bête : jusqu'au 29 juillet, 15H05, Théâtre du Chêne Noir (Relâche le lundi)

Réservations :https://www.chenenoir.fr/

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