L’été quelque part dans une cité, Nedjma (Lina El Arabi) partage ses journées entre sa mère sur-occupée, Leila sa cadette complice et le banc des Meilleures, sa bande, son clan, sa horde à tout jamais.
Entre alors Zina (Esther Rollande), une nouvelle voisine dont l’apparition induit chez Nedjma des sensations, des sentiments inconnus et inouïes. Comment s’accomplir lorsque ce qui vous tombe dessus est à la fois merveilleux et hors piste, à l’écart des schémas en lice dans le tout venant du vivre ensemble ?
Dans Les meilleures, les regards, les gestes, les corps balisent une éducation sentimentale qui se déploie au hasard d’une maison pour tous, d’une cage d’escalier, face à l’ascenseur ou sur des toits étoilés.
Marion Desseigne-Ravel réunit une poignée de jeunes comédiennes éclatantes pour un premier long métrage à l’os. Une concision qui n’élude en rien la sensibilité tonique, l’acuité lumineuse du projet et de sa réalisatrice.
Interview de Marion Desseigne-Ravel, ex élève de l’option cinéma du Lycée Mistral Avignon, réalisée lors de l’avant première des Meilleures dans le cinéma Utopia de son adolescence.
Les meilleures, sur les écrans à partir du 2 mars.